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Témoignage de sympathisant

Je viens en tant que sympathisant du MODEM, et j’aimerai voir se former un centre fort capable de rassembler tous les citoyens de bonne volonté. Si les actes suivent les décisions qui se décident, la chose est possible. Le combat que j’ai mené depuis ma démobilisation à la fin de la guerre 39/45 au moment ou le Pays était détruit n’était pas politique, car j’avais connu l’époque de l’après-guerre 14/18 jusqu’au désastre de 1940. Afin que les erreurs commises à cette époque ne se reproduisent pas, j’ai opté pour le relèvement moral et social de la France, et cela en tant que « Délégué bénévole de l’éducation nationale ». Trois congrès nationaux en tant que Vice Président des Basses Pyrénées. Ce n’était pas chose facile, car je me suis trouvé bien souvent seul au milieu de certains loups. L’instruction et l’Education ne doivent pas être dissociées dans nos écoles de la République, car un pays sans valeur morale ne peut assurer convenablement la Justice Sociale.
-Instruction et Education –
Car à quoi ça sert d’instruire
Si cela sert à détruire
Plutôt des hommes formons !
Avant d’instruire des démons
Aux savants jeunes et vieux
Ceux qui se prennent pour des dieux
Transformerez- vous le monde
En un tas de matière immonde
La France actuelle, à mon niveau, souffre plus de sinistrose que de manque de pain, puisqu’on en trouve en quantité dans les poubelles, plus bien d’autres matériaux qui font défauts dans les pays pauvres. Les grandes paroles de Danton à l’Assemblée Nationale sous la révolution qui disaient « Après le pain, l’Education est le premier besoin du peuple » ; je crois qu’il serait temps de passer à la deuxième phase de notre Révolution, ou plutôt une évolution vers l’éducation du peuple. Et pour cela l’on pourrait ajouter à la devise « Liberté Egalité Fraternité », souvent mal comprise, sur le fronton de nos Ecoles la Maxime suivante ci-dessous Car si l’on ne veut pas de religion à l’Ecole, et si l’on veut soigner la sinistrose actuelle, il faut repenser l’Education des citoyens ; car un pays malade n’avance pas beaucoup. Au nom de la nouvelle République, à inscrire sur le fronton de son Ecole, cette Maxime :
Tout homme se doit de rechercher la Vérité
Dieu reste invisible, tout comme une onde dans l’espace
Est-il à lui de se découvrir, ou à toi de le chercher
Ici on ne peut ni l’affirmer, ni le nier
Mais l’Ecole est la pour t’aider dans la vérité
La nature t’a doué d’une intelligence pour la développer humainement
Sache la conserver sainement, afin que toi-même et tes enfants
Puissent un jour « LA » retrouver dans la Liberté et la Fraternité
Sinon vient un jour où l’insouciance se paie
Et ma conclusion sera que la recherche de la Vérité d’où qu’elle vienne, ne peut nuire qu’aux menteurs.
Mr GUERRERO Firmin. 86 ans

lundi 23 juin 2008

Communiqué sur le Pôle de Santé

La nécessité d'un Pôle de Santé à Oloron Sainte-Marie

Le Mouvement Démocrate de la 4° circonscription des Pyrénées Atlantiques tient à réaffirmer l'extrême nécessité d'un pôle de santé fort sur Oloron Sainte-Marie, gage de la défense des territoires ruraux.
Néanmoins, il tient à apporter à la connaissance des Oloronaises et des Oloronais et au delà aux habitants des vallées, un certain nombre de remarques qui permettront à tout un chacun de se faire sa propre opinion sur ce dossier délicat.
La SMAM (actionnaire majoritaire de la clinique) joue un rôle pour le moins trouble depuis la décision de son conseil d'administration de fermer le site d'Oloron Sainte-Marie, sans concertation avec le personnel et les autorités de tutelle sanitaires.
Elle porte, seule la responsabilité morale et juridique de sa décision de fermeture, malgré l'apport de 250.000 € de l'Agence Régionale d'Hospitalisation pour éviter une fermeture du jour au lendemain.
Cette mutuelle est au regard de la loi un employeur privé et à ce titre seul responsable de la mise en place d'un plan social pour ses salariés.
Si la fermeture devenait inéluctable au 30 juin, faute de repreneur ou de solution pérenne, que deviendront le personnel et les locaux ?
Vouloir faire porter cette responsabilité à la collectivité publique est un non-sens absolu.
Depuis le 1er janvier 2008, l'hôpital public d'Oloron Sainte-Marie, comme l'ensemble des hôpitaux publics de France, ne vit que par les recettes générées par son activité. A ce titre, l'exercice 2007 se solde par un équilibre budgétaire.
Intégrer des activités déficitaires vers l'hôpital augmentera non seulement sa masse salariale en lui demandant d'embaucher le personnel de la clinique, mais mettra en danger, à brève échéance, son avenir en terme de plateau technique performant au service de la population.
Un débat public s'impose pour essayer de trouver tous ensemble des solutions qui ne mettront pas en danger le Pôle de Santé Oloronais, dans le respect des réalités économiques.

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